Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 9 ans
Scène de la vie d'un couple, au sein duquel le « courant » passait bien...
Voici de quelle manière cela se déroulait avec ma tendre Lola, gaffeuse professionnelle , s'arc boutant sur le principe du « je sais faire, fous-moi la paix » et rebelle au point de contredire les choses les simples, à partir du moment où elle venaient de moi.
Quel jeu délicieux, quelle intelligence et quelle finesse il lui fallait pour tenir ce rôle, tout de même, qui était, d'ailleurs, dans sa nature !
Si je ne suis pas mort de rire à ses côtés, ce n'est pas parce que le destin n'avait pas que moi à s'occuper à ce moment-là.
Fu-sion-nels, je vous dis.
Bref.
En général quand j'entends s'échapper de la cuisine un bruit digne d'une douzaine d'enclumes qu'on laisserait tomber du cinquième étage, immédiatement suivi de rugissements à faire pâlir le lion de Daktari, c'est qu'une bêtise vient d'être commise. Ou alors c'est de la perversion pure.
Je passe sur les jurons et autre « noms de Dieuseries » bramés par l'intéressée, dont les voisins profitent, au passage et à leurs corps défendant, me conférant, par la même occasion et dans tout l'immeuble, une réputation de brute battant sa femme, alors que je suis tranquillement en train de réparer la bêtise précédente de Mademoiselle.
Disons tout :
– « Je te dis que je sais réparer une prise ! »
– « Oui mais pas avec ça, c'est un couteau en METAL ! »
– « Laisse faire »
– « Tu vas te prendre le jus »
– « La barbe ! »
Là dessus, ayant sans doute réfléchi que la vie ne valait pas un coup de fil, mon apprentie Edison lève les yeux, et daigne, dans sa grande mansuétude, prendre le testeur SECURISE que je lui tends.
– « Voilà, maintenant, tu peux y aller »
– « Ta g..... macho »
Et allez donc !
Lorsqu'on réalise ce genre de travail, mieux vaut être attentif à ce que l'on fait. Triomphante, elle me regarde avec le sourire et les yeux de Vil le coyote, du dessin animé « bip-bip ».
Ça n'a pas raté. Mauvais trou. Digziit. Et court jus.
Voilà donc pourquoi, au lieu d'être dans la cuisine à la surveiller, j'étais à quatre pattes dans le salon, environné d'un flot d'étincelle, en train de tenter d'éviter que l'immeuble entier ne prenne feu, grâce
à la « réparation » de Lola.
Ces mises au point faites, revenons à nos moutons. Je me précipite autant que faire se peut, car je venais de me prendre le jus (alors que elle non !) en secouant ma main désormais réduite à sa plus simple expression, vers la cuisine, et, quelques mètres avant d'atteindre la porte, en sort une sorte de fusée, qui me crie, en me croisant :
– « C'est pas moi ! Le truc est tombé tout seul, j'y ai pas touché !! »
Je laisse faire, je finirai bien par la rattraper.
Avec une prudence de sioux, j'entre , et je constate. Oh P.....
Je passe sur les détails, mais sachez qu'après cet « incident », la cuisine fût rebaptisée
« Tchernobyl... »
Elle n'a pas été blessé, tout va bien. Je suis partagé entre le fou rire et une furieuse envie de la fesser. Je choisis (lâche ! ) la seconde solution.
Je l'appelle. Elle connaît cette voix faussement calme, prélude à ce que nous savons. Pas de réponse.
Je réitère ma demande de rendez-vous urgent en sa gracieuse compagnie, toujours rien. Je me doute qu'elle est allée se cacher, tu parles...
Bon. Je lui fait comprendre que je vais venir la chercher. J'avance à pas de loup dans le couloir attenant, entre-ouvre prudemment la porte de la salle de bain : vide. Je passe donc au salon. Pas
davantage de Lola. Elle ne peut être que dans la chambre, ou sur le toit. Pas la grand salon, puisqu'il est ouvert et également vide.
Soudain, se sentant sans doute découverte, elle prend les devants, et sort comme une balle de … la chambre. Non sans, au passage, érafler la tapisserie...La cautioooooooooon !!!
Je me lance dans une poursuite Starky et Hutchienne, mais elle a pris de l'avance. Elle rit, et moi aussi. Nous faisons un passage éclair dans l'entrée, reparaissons dans le salon, pour faire ensuite et de nouveau une courte apparition, dans le vestibule. Comme le chantait le regretté Pierre Bachelet
« mais qui es-tu, maaarionettiiiste... »
Sachant parfaitement ce qu'il attend, elle vire « volte » (je n'aime plus, depuis, le mot « voltage », et tout ce qui se rapporte à l'électricité...) bondit, détale, glisse, rampe, s'agrippe, dérape, s'accroche, tente de se cacher mais fait tomber la cruche en terre-cuite qu'elle venait elle-même de terminer l'avant-veille, et finit par se blottir dans un coin...du salon. Je la suis, et ferme la porte derrière moi, A CLEF.
Et toc. Plus d'échappatoire possible.
Adorable. Mais qu'elle est adorable, belle, mignonne, craquante, dans cette posture soumise, recroquevillée, les bras croisés sur sa poitrine, les yeux implorants, un petit sourire qui signifie
« Pardon... j'ai pas fait esprès... »
Je réprime moi-même à grand peine un sourire. Elle le sait. Elle le voit. Ses yeux se font chat. Elle me fixe, toujours blottie, mais cette fois, dans une attitude presque provocatrice :
– « T'as raison ! Tu vas voir si je vais pas prendre les choses en main ! »
Je m'assois sur le canapé et lui demande posément de m'y rejoindre. Mutisme complet.
Et re !
Cette fois, je lui signifie que je n'ai pas bien loin à faire, et qu'ayant fermé la porte, ses moyens de s'enfuir que limités, que la cheminée est bouchée, et que nous sommes au 7ème étage.
Toujours rien.
Je me lève, et me dirige vers une petite commode. Je l'ouvre, et en retire un martinet. Mouvement dans le coin, mais...héhééé...porte fermée !
Je reprends tranquillement ma place, et lui dit, cette fois sévèrement, de « venir ici tout de suite et sans délai un point c'est tout. »
Elle bouge. Elle arrive. Elle s'élance, à la vitesse de 0,05 km/h. Dire qu'elle fait des petits pas serait un doux euphémisme. Elle fait le moon walk sur place. Plus fort que Mickaël Jackson !
Cette fois ma voix se fait sèche. Je ne lui « demande » plus de venir, je lui en intime l'ordre.
– « Boooooooon... » Soupire-t'elle, de cette petite voix presque enfantine, sans doute dans l'espoir (hypocrite, comme si tu ne l'attendais pas, ta fessée ! ) de me faire craquer.
Enfin elle est là. Assise d'un quart de fesse sur le rebord du canapé, le regard en coin, un petit sourire espiègle sur ses si jolies lèvres.
Merde, qu'est-ce que j'aime cette fille...
– « Lola.. »
– « Ouiiii ? »
– « Tu n'as rien remarqué, dans la cuisine ? »
– « Boh...oui mais non, attends, attends, j'vais t'expliquer »
– « NON. Ça, ça aurait été possible, AVANT. A présent, je n'attends que des excuses »
– « Ah ? Mais pourquoi des excuses ? »
Ben voyons !! L'innocence aux mains pleines...
– « Comment, pourquoi ? Tu es sérieuse ? »
– « Euh...nan »
– « Et tu te moques de moi en plus !! »
– « Oui, euuh..non, mais tu vois... »
– « Rien du tout. Plus un mot. Viens ici »
– « Bien... »
Elle s'approche (surtout prends ton temps...) et je lui prends la main.
Doux contact...elle est encore essoufflée de sa course, et ses cheveux tombent sur son
visage...qu'elle est belle, sauvage et soumise à la fois...
– « Lola, tu t'es rendue coupable de dégats divers sur lesquels je ne m'étendrais pas, mais
surtout de désobéissance et de rébellion. Je me dois donc de t'administrer un juste châtiment,
ainsi que tu le sais. Acceptes-tu ? »
– « Oui je l'accepte »
– « Bien »
Doucement mais fermement, je lui dis
– « Sur mes genoux »
Son regard se baisse, son sourire s'estompe, mais seulement physiquement. Son corps souple se
détend, et elle vient s'allonger en travers de mes genoux, ses adorables fesses offertes à la punition attendue, demandée, souhaitée par tous les deux.
– « Lola, comme je viens de te le signifier, tu vas donc recevoir le châtiment de cette mauvaise conduite. Reconnais-tu avoir été rebelle ? »
– « Oui, je le reconnais »
– « Admets-tu t'être conduite en mauvaise fille ? »
– « Oui je l'admets »
– « Demandes-tu à être punie ? »
– « Oui, je le veux, punis-moi comme je le mérite et comme il te plaira »
J'ai donc officié comme il convenait de la faire, la fessant tout d'abord à la main par dessus l'étoffe de son pantalon noir. Méthodique, j'ai commencé par de petites tapes,assez sèches, alternant d'une fesse à l'autre. Puis, les tapes se sont rapprochées, mon mouvement s'est fait plus ample, plus viril.
Parfaite, elle ne disait rien, ne gémissait pas, ne bronchait pas. Elle recevait sa punition avec courage.
Entre chaque série de gifles, je caressais ces 2 demi lunes, fermes, bien dessinées, que j'aimais tant, lui offrant ainsi un divin mélange de douce douleur et de plaisir.
Au bout de quelques minutes à ce rythme, je lui ai juste dis : « off »
Elle s'est levée, doucement, sensuellement, me faisant admirer, au passage, les courbes parfaites de son corps.
Debout devant moi, le regard toujours baissé, sérieuse, elle a défait son pantalon, l'a laissé glisser dans un mouvement souple jusqu'à ses pieds, puis a repris la position.
J'ai recommencé. Cette fois, la fessée était bel et bien en place. Seul le bruit des claques sur ces fesses désormais rosissantes, venait troubler le silence de cette fin d'après-midi.
Ma main droite la fessait régulièrement, fortement, et je sentais sin corps monté en puissance, de cette irrésistible puissance féminine, qui sait si bien s'exprimer sans avoir à dire un seul mot.
Ma main gauche, elle, était posée sur son dos.
J'ai baissé son tanga, jusqu'à mi-cuisses, et j'ai repris, pour la troisième fois.
Là, pour le coup, ça claquait dur. Ma main elle-même commençait à rougir, et je sentais le plaisir de ma compagne monter en elle, telle une vague, qu'elle contrôlait à loisir et de manière parfaite.
J'ai stoppé net, ce qui a arraché à Lola un petit soupir de dépit.
Eh cocotte, tu croyais quand même pas que j'allais terminer et te laisser venir si vite !
– « Debout !, Viens avec moi ! »
Elle me suit, vers la table du salon, s'appuie contre elle des 2 mains, m'a offert son corps et son splendide fessier, déjà presque rouge écarlate. Se cambrant, rejetant la tête en arrière dans une position de défi, elle m'a regardé de côté, d'un regard noir et profond que je connaissais bien :
« Va zy, montre-moi qui tu es ! »
J'ai saisi le martinet et me suis placé juste derrière elle, bien campé sur mes pieds. Je me suis alors à la fesser, ou plutôt – à la fouetter en cadence, en prenant mon élan de gauche à droite, le martinet remontant jusque dans mon dos puis s'envolant vers sa cible, laissant les lanières lécher sa peau dans un mouvement de va et vient cinglant et sifflant. Ses fesses, ses cuisses étaient zébrées de part en part et chaque coup laissait sa signature.
Sans pause, je l'ai fouetté durant plusieurs minutes, alternant la force des coups et la cadence.
Lola s'est cambrée d'un coup.
Lola a gémi, poussé un feulement sourd de panthère. Étouffée un cri dans sa main plaqué sur sa bouche.
Lola avait joui.
Notre histoire s'est terminé, une page s'est tournée.
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